Un risque assuré dans le temps
La Banque des Territoires reste propriétaire de l’infrastructure, garantissant ainsi aux copropriétaires une continuité du service, y compris en cas de changement ou de défaut éventuel de l’opérateur.
Pour les opérateurs, Logivolt Territoires contribue à instaurer un écosystème clair et sûr, à même de générer plus d’abonnements ou d’achats forfaitaires d’un droit de connexion par les copropriétaires.
Au bout de trois ans, la copropriété peut racheter à tout moment l’infrastructure collective pour un montant égal au droit de connexion restant à payer. Au bout de 15 ans, si la copropriété n’atteint pas le seuil de 20 % de places équipées de bornes de recharge, il lui sera donné la possibilité de racheter l’infrastructure. Si cette option n’était pas exercée, la Banque des Territoires serait alors en mesure de céder l’infrastructure en la proposant, pour un prix égal à la valeur résiduelle et par ordre de priorité, à l’opérateur puis à un tiers agréé par la banque.
« En finançant l’intégralité du coût de l’infrastructure collective dès la première demande de connexion, Logivolt Territoires assume le risque du rythme auquel les résidents passeront à l’usage d’un véhicule électrique et voudront disposer d’une borne de recharge en copropriété, sur leur place de parking », conclut Gautier Chatelus.
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